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 I'm losing control and I want all of you ... ◮ NEVEN

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MessageSujet: I'm losing control and I want all of you ... ◮ NEVEN I'm losing control and I want all of you ... ◮ NEVEN EmptyLun 16 Jan - 17:34



SHANE NEVEN STONEM

(c) Tumblr


[/color]

Ҩ HEY YOU, WHAT DO YOU SEE ?


Hello everybody ! Mon petit nom, à moi, c'est Shane Neven Stonem, mais on m'appelle aussi Nev, et j'ai déjà 26 piges. Je suis né(e) le 2 Décembre 1985, à Glasgow. Sinon, j'ai des origines écossaises et anglaises. Sympa, non ? Ensuite, je suis célibataire et homosexuel. Je suis ici pour dédoublement de personnalité, et dans la bande des Fallen. Pour conclure, sur la photo, c'est Shawn Milke. Plutôt sexy, non ?



Ҩ WE ARE THE PROMISED ONES



❧ Pourquoi tout c’est déréglé chez Neven ? Bonne question. La raison est tellement compliquée qu’il ne la connait pas lui-même. Peut-être à cause du malaise qu’il ressentait. Cette capacité à avoir, dès le début, compris qu’il n’était pas à la hauteur de ce que l’on attendait. Et pourtant, il l’a prouvé, de nombreuses fois. Personne ne l’a écouté. Personne n’a accepté de baisser un peu la barre. C’est trop tard, maintenant. Il aurait fallu l’accepter tel qu’il était. Un être faible. Faible et incapable.
❧ Myope. S’il n’a ni ses lunettes, ni ses lentilles, le paysage n’a de point commun qu’avec une tâche floue. Pas très charmant, surtout quand on te force à courir après un ballon, pour le lancer ensuite dans un cercle suspendu à trois mètres du sol. Monsieur, il est où le panier, exactement ?
❧ 100 % gay. Désolé mesdemoiselles ! Vous n’imaginez même pas à quel point vous le répugnez, dans ses moments de crise. Il aime juste vous faire souffrir. Rien d’autre. Le but n’est pas de vous donner du plaisir. Il n’a pas envie de vous aimer pour ce que vous êtes. Il se contente de vous entendre souffrir. Et sinon ? Vous cherchez toutes l’homme parfait. Avouez qu’avec Neven, vous étiez loin d’être satisfaites.
❧ Dédoublement de personnalité. Tu as le Neven gentil, serviable, au doux sourire. Et puis l’autre, sadique avec les filles, avec un grand sourire pervers sur le visage. Et quand il n’a personne à faire souffrir ? Il s’inflige la sentence à lui-même. Avouons que se fracasser la tête contre un mur, ça fait passer le temps.
❧ La musique l’a longtemps fasciné. Et le fascine toujours, d’ailleurs. Parce que, comment s’évader, sans musique ? Avoue-le. On est plus tranquille quand un fond sonore emplit le silence. On préfère tous se concentrer sur la mélodie, plutôt que de se retrouver, au calme complet, confronté à ses questions. Réfléchis. Se torturer l’esprit n’est guère agréable.


Ҩ IT'S DO OR DIE



(c) Tumblr

Comme on en a rêvé, de notre histoire parfaite. Tu t’en souviens, dis ? On nous ne demandait que ça. Juste ça. D’être parfaits, toi et moi. Seulement toi et moi. On ne nous demandait pas la mort, n’est-ce pas ? Je n’ai pas su tenir ma promesse. Et, non contant de me briser moi-même, j’ai semé le désordre autour de moi. Tu vois comment j’ai réussi tout détruire ? Vois comme je vous ai fait du mal, à tous. Regarde comme c’était facile. C’est de votre faute, en fait. Et c’est de la mienne aussi. Tu aimerais bien qu’on reparte à zéro, hein ? Qu’on corrige la ligne de tir, avant de commettre l’irréparable. Trop tard. Le temps est écoulé. Nous sommes finis. Vois-tu, nous sommes dans un monde où rien n’est rose. Dans un monde que vous vouliez parfait, vous. Toi. Eux. Les autres. Vous. Tu n’as même pas remarqué que j’étais en train de me casser la gueule. Que j’étais bien incapable de faire partie de ta superbe famille. C’est comme ça. Sans aide, j’étais incapable de passer la barre. C’est trop haut. Trop difficile. Tu n’as rien vu. Tu ne me portais aucune attention, dans le fond. Sauf pour me critiquer. Mais, c’est terminé, maintenant. Parce que j’imagine qu’on ne se reverra jamais, n’est-ce pas ?

Regarde un peu. J’ai eu une maison. Une famille. Des parents, un petit frère. Une famille qui m’a frappé pour chaque geste fait de travers. Une famille qui m’en a voulu, de ne pas être parfait. Une famille qui, au final, ne s’occupait de moi que pour distribuer des coups sur mon pauvre corps. Une famille que j’ai essayé de fuir. J’ai fui ma maison, j’ai fui mon école, où je n’étais sujet qu’à des moqueries. J’aurais voulu fuir ma vie, tu sais. J’ai essayé. Mais ils m’ont trouvé. Vois-tu, on me retrouve toujours avant que je ne trouve la paix. Comme si j’avais vraiment besoin que l’on me remette sur pied pour continuer. Continuer à souffrir. Ils ne se rendent même pas compte de leurs erreurs. Tant pis. On en payera tous le prix fort. C’est de votre faute.
Oh ! Ils pensaient tous que tout s’arrangerait en nous plaçant dans des familles d’accueil. On a été séparé, mon frère et moi. Au fond, ce n’est pas très grave. Je ne l’ai jamais beaucoup aimé. Il était ce que tout le monde voulait. Un fils qui semblait presque parfait. J’ai cru entendre qu’il a plutôt bien réussi sa vie. Tant mieux pour lui.
Tu te souviens du jour où je suis arrivé chez toi ? T’étais là, toute souriante. Tu avais l’air heureuse de m’accueillir. Tu semblais contente d’avoir un grand frère pour toi toute seule. Un nouveau frère. Tu t’y intéresse vraiment ? Tu prêtes vraiment attention à tous ces jeunes qui sont de passage chez toi ? Je l’ai cru. Peut-être que c’était faux. Mais tout d’un coup, le fait d’avoir trois personnes qui s’occupaient de moi me donnait le sentiment d’être surprotégé. C’était étrange, au début. Mais j’ai fini par m’habituer, tu vois.
On était devenu tellement proche, tous les deux. Notre quasi-promiscuité gênait presque les autres. Et pourtant, on savait l’un comme l’autre qu’il n’y aurait jamais rien de plus que de la complicité. Pas d’amour. Tu le savais parfaitement. Mon homosexualité n’était un secret pour personne. Et pourtant … Ils avaient peur. Ils n’ont jamais cessé les remarques. Jamais. Finalement, je n’étais pas encore assez bien pour eux, tu vois.


(c) Bad.Blood

Je n’avais jamais pensé à te faire du mal, tu sais. Mais c’était tellement jouissif de te voir souffrir. De t’entendre me supplier. Arrête. Arrête ça. Je n’en pouvais plus, de vos moqueries, à tous. C’était juste trop … Fatiguant. Je voulais juste que tu comprennes à quel point vous m’avez fait mal. Je leur en voulais. Je nous en voulais. Je t’en voulais. Je m’en voulais. On n’était pas parfait. Surtout moi, en fait. Tu me l’as bien fait comprendre, n’est-ce pas ? En grandissant, tu es devenue comme les autres. Tu m’as déçu. Terriblement déçu. J’aurais pensé que tu resterais toujours celle que j’aimais. Celle que je considérais comme ma sœur. J’aurais voulu que tu restes comme avant. Que tout reste comme avant. Et tes mots ont fini par me faire sentir tellement mal …
Ce n’était pas vraiment moi, tu sais. Pas vraiment. Qu’est-ce qu’ils ont dit, quand ils t’ont trouvée, avec tes vêtements déchirés ? Tu t’étais peut-être réveillée avant ? Tu leur as dit quoi ? Tu pleurais, encore ? J’imagine que oui ...
Tu sais, j’ai paniqué, quand je m’en suis rendu compte. Je me suis senti mal, quand je t’ai contemplée, alors que tu étais évanouie. Je t’ai longuement regardée, avec tes habits déchirés. J’ai vu le sang qui souillait les draps. Et j’ai eu peur, lorsque je me suis dit que ça risquait de mal tourner pour moi si on me trouvait là. Alors, je suis parti. J’ai pris quelques affaires, et je suis parti. Et j’ai marché, longtemps, avec ce nœud dans la gorge. J’ai pensé. Longtemps. Je me suis torturé la tête, pour essayer de comprendre. Je n’ai pas aimé ce que je t’ai fait. Non. Je n’ai pas aimé ce moment de fusion. J’ai juste aimé te voir souffrir. Te faire souffrir. Juste ça. C’était tellement bien. Tellement agréable. Tu ne peux pas comprendre ce que c’était. Tu ne pourras jamais comprendre. Tu m’en voudras, et tu te diras juste que ton raté de « frère » est mentalement déséquilibré. Avoue, tu n’as pas eu de bol. Ils auraient quand même pu te foutre un « grand-frère » potable.


(c) Tumblr

J’ai gambadé pendant deux ans. Il y en a eu deux autres, après toi. Juste des filles. Juste pour les voir souffrir. Je n’ai pas cherché à aller aussi loin. Elles me répugnent, tu sais. Pourquoi ? Parce que. La simple idée de toucher leurs lèvres me donne envie de vomir. Je ne suis même plus capable de me contrôler. Je sais bien que c’est mal. Seulement, c’est toujours la guerre dans ma tête. On me pousse à bout. Alors oui, j’arrête de me montrer gentil avec tout le monde. Et je me fais plaisir. Même si l’idée de les toucher me répugne. J’ai juste envie de les voir souffrir. Toutes. C’est tellement agréable. Passionnant.
Et puis il y a ces passages où je me réveille. Où je vois ce que j’ai fait. Et j’ai peur, dans ces moments-là. De moi. Je me demande quand cesseront ces moments de folie. Si j’arriverais à m’arrêter un jour. Si je deviendrais capable de me maîtriser. Ma seule échappatoire ? Fuir. Encore. Pour mieux recommencer après. Tu ne pourras jamais me comprendre. Même moi, je n’y parviens pas. C’est trop difficile. Au fond, je ne sais même pas pourquoi je suis comme ça. Souvent, je les observe, et je me demande pourquoi elles. Pourquoi elles et pas d’autres ? Pourquoi pas un autre. Je me dis que c’est uniquement parce qu’elles te ressemblent. Mais peut-être que ce n’est pas ça. Peut-être que c’est autre chose. C’est juste caché au fond de ma tête, après tout.


(c) Bad.Blood

La situation m’a dépassé quand j’ai compris qu’elle ne se réveillerait pas. Mes yeux se sont posés sur sa peau nue. Rouge de sang. J’ai regardé son corps mutilé. Je n’ai pas pu réprimer un haut-le-cœur. Je me suis dit qu’il était temps d’en finir. Qu’il fallait que j’arrête. Que je m’arrête. C’était le seul moyen. J’aurais tellement voulu que ça réussisse. J’aurais eu la conscience tranquille.
Ils m’ont retrouvé avant que je ne me sois complètement vidé de mon sang sur la moquette. Vois-tu, nous sommes dans un monde où nous ne voulons pas laisser les gens mourir. Alors, ils ont jugé bon de m’emmener aux urgences, de refermer mes avant-bras ouverts, et de me faire rouvrir les yeux, encore une fois. Pour voir toutes ces putains de couleurs autour de moi. Pour que je puisse souffrir plus longtemps. Je préfère voir souffrir les autres. Pas moi. Pas de cette façon-là. Pas en étant confronté jour et nuit à mes démons. Pas comme ça.
Dommage qu’ils ne puissent pas m’abattre. Ça aurait été plus rapide. Au lieu de ça, ils ont attendu que je guérisse physiquement, pour me péter dans une salle où tout le monde me regardait. Certains ont parlé, uniquement pour se plaindre. J’ai attendu. Il m’a semblé que ça a duré pendant des heures. Je t’ai entendue, toi aussi. J’ai entendu tes pourquoi. Pourquoi je t’ai fait ça. Tu n’as pas compris, alors. Dommage. Je te pensais plus intelligente.
Ils m’ont demandé mon avis, à moi. Nier ne me servait à rien. Alors, j’ai juste baissé la tête, sans un mot. Ils ont voulu me comprendre, après. Je n’ai rien dit, pendant longtemps. Ils ne me mettaient jamais avec des filles, au début. Deux ans sans un mot. Sans une explication. Je pétais juste des câbles, quand ça devenait trop insupportable. Je mutilais ma peau, cognais ma tête contre les murs. Ils ont fini par me mettre à l’H.P. Ils m’ont dit que j’étais mentalement instable. Haha. La bonne blague ! Ils pensent que je guérirais mieux si j’y allais. Tu parles, ils auraient mieux fait de me piquer. Mais non. Ils ont pensé que ce serait mieux de me laisser me balader dans un coin avec des détraqués. C’était plutôt marrant, ouais. Ils m’avaient filé des pilules. Et quand ils me voyaient, c’est uniquement pour me faire criser. Je ne te cache pas que ça devenait insupportable. J’avais l’impression d’être un cobaye. J’avais dépassé le stade du simple animal. Je n’étais plus qu’un pauvre jouet. Ce n’est même pas humain, tu vois. J’ai cherché la réponse. Longtemps. Jusqu’à ce que ce soit une femme qui me pose les questions. J’ai fini par trouver la solution. Je n’ai lâché qu’une phrase. J’aimais les voir souffrir. Et je me suis dirigé vers la porte de son bureau, la chaise entre mes mains. Je l’ai coincée contre la porte. Les autres ont réagis trop tard. Puis je me suis retourné, avec ce sourire pervers sur les lèvres. Et je l’ai fait souffrir, elle aussi, pour qu’elle comprenne. Pour qu’elle comprenne pourquoi j’avais fait ça. J’ai adoré la voir se débattre, quand elle a compris. Ses petits yeux de brebis paniquée m’ont bien fait sourire. Elle s’était mise à courir autour du bureau. Il ne m’a pas fallu longtemps pour l’attraper, et agir. Ça a été tellement facile.


(c) Tumblr

Ils ont décidé de m’envoyer ici. Je ne suis pas certain que ce soit une bonne idée. Un centre de redressement. Avec une aile psychiatrique. J’étais peut-être plus à l’aise dans leur asile de demeurés. Ils ont pensé que j’allais mieux. Mieux. Un bien grand mot, n’est-ce pas ? Comme si être shooté par des médicaments allait te permettre d’aller mieux. En tout cas, ne t’inquiète pas, on ne se reverra pas de sitôt. J’imagine que, même si mon état semble s’être amélioré, je ne sortirais jamais d’ici. Enfin, le but de cet endroit est tout de même de nous dresser correctement. Dans le but de vivre dehors, ouais. Je sais. Mais, au final, je pense que cela m’effraie. L’idée de vivre à l’extérieur m’horrifie autant que toi. Imagine. Imagine que je sorte un jour, et que je recommence. Imagine ! Ça me dégoute. Je me dégoute. Je souhaiterais presque que l’Etat m’oublie. Et que je crève ici. Etrange, peut-être. J’aurais probablement dû souhaiter sortir d’ici le plus tôt possible. Goûter à la liberté. Ahah. Tu sais bien que je ne serais jamais vraiment libre. Les barrières mentales seront toujours là. Et sortir pour faire quoi, de toute façon ? Pour aller où ? Je n’ai personne qui m’attend, dehors. J’ai perdu le contact avec la réalité. Avec l’extérieur. Ce serait comme lâcher un singe en pleine ville. Il finirait par se perdre. On se moquerait de lui. On hurlerait en le voyant. On s’enfuirait en courant. On lui refuserait le peu qu’il demande. Il finirait par péter un câble ; s’il ne se bute pas avant. Alors, tu me comprends, maintenant ? Hein ? Alors, c’est bel et bien de ta faute, n’est-ce pas ?


Ҩ BEHIND THE MASK


Hellow ! Alors, moi, c’est Bad.Blood, ou Anaïs et j’ai quinze ans. Je pense pouvoir passer par ici 5 jours sur 7, parce que oui, je ne suis pas un robot. Puis sinon … Je crois que je n’ai rien oublié, ou presque rien, donc voilà !

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→ COPYRIGHT : baylee
→ ÂGE : 109
→ INTERNÉ LE : 30/09/2010
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→ RP ÉCRITS : 0
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→ ICI POUR : Faire de ta vie un enfer.
→ JE SUIS : Présent(e)


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MessageSujet: Re: I'm losing control and I want all of you ... ◮ NEVEN I'm losing control and I want all of you ... ◮ NEVEN EmptyLun 16 Jan - 19:10

J'ai adoré lire ta fiche, ton personnage me semble bien intéressant ; un psychopathe comme je les aime ! :D ♥️ Non, tu n'as pas dit ça. Hum, Elias ? Ouiiii ? :D Ta gueule, merci. Bref, I :coeur: ta fiche ! ;)
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MessageSujet: Re: I'm losing control and I want all of you ... ◮ NEVEN I'm losing control and I want all of you ... ◮ NEVEN EmptyLun 16 Jan - 19:17

Eheh ! ♥️

Merci ! :love:
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MessageSujet: Re: I'm losing control and I want all of you ... ◮ NEVEN I'm losing control and I want all of you ... ◮ NEVEN Empty

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